Dans le cadre du cours SOC 3537,
cette blogue va explorer les enjeux de
« sociologie des groupes minoritaires ».
Pour moi, ceci est un exercice de réflexion et de pensée. Les thèmes abordés ici vont alors développer au cours de l’écriture. Je veux explorer l’identité de « minorité » de deux perspectives, intérieure et extérieure. Premièrement, le concept d’identification avec un groupe minoritaire, qui implique la perception d’être minoritaire, de subir de la discrimination, d’être unique. A l’autre côté, je veux également aborder la question de désignation ou reconnaissance comme minorité—comment on arrive à comprendre un groupe comme minoritaire. Certaines groupes minoritaires sont plus ou moins acceptés comme telles, et les membres de certaines groupes se sentent différents degrés de rattachement à cette identité. Que sont les facteurs et les patterns?
Il peut être important de décrire ma propre position dans une telle identification avec minorité ou majorité. Dans le contexte canadien et aussi global, je me trouve dans une position de majorité solide. D’être femme, que sera un sujet très important ici, est mon seul caractère minoritaire. I write this blog as the waspiest of wasps, a white-anglo-saxon-protestant educated-middle-class small-town-central-Ontario offspring-of-civil-servants.
Alors, abordons la question—avec toutes ses réponses et implications—
fais-tu partie d’un groupe minoritaire?
Kaitlin Warren
Kaitlin Warren
Je crois de façon superficielle, je fais partie de la minorité féminine et francophone. Mais, je crois que dans le contexte canadien, parce que je suis protégée par la législation, je ne le ressens pas tant que ça.
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