Les concepts de Boucher liés à l’handicap, discuté dans la poste précédente, s’applique bien à plusieurs niveaux de handicap. Je vais parler ici d’un cas familier à moi, d’un individu avec un déshabilité intellectuel, et ses expériences avec les organisations de service social. Dans l’expérience de ma famille, ces services ont évolué à un grand degré au cours des années et décennies récentes.
Dans un premier cas, Community Living Toronto est une organisation clé dans la vie de mon oncle. Il a un handicap intellectuel, pas nommé mais semblable dans les caractères à l’autisme. Il habite seul dans son propre appartement, et travail chez un ‘workshop’ de Community Living, ou les clients font du travail simple (pour les contrats avec compagnies privés). Il a un conseilleur à temps plein et un autre à temps partiel, travailleurs qui ont un certain nombre des clients, qui donne de l’aide avec l’argent, l’épicerie, les besoins émotionnels…tout l’organisation de vie. Mon oncle participe aussi à plusieurs groupes sociales associés avec Community Living, soit un club de bowling le samedi, un groupe de jeu le vendredi soir, un chorale, les leçons de natation, etc. L’organisation est aussi propriétaire d’un camp d’été et de plusieurs maisons de groupe pour clients avec plus de support.
Mon oncle fait partie d’un groupe des baby-boomers handicapés qui est la première génération des clients de tels services sociaux. Sans être parfait, Community Living Toronto, pour ce type de client semi-indépendant, est un exemple d’une organisation gouvernementale qui tente de fournir les besoins des personnes handicapées, dans la façon dont parle Normand Boucher. Il est facile d’observer (et très bien à voir) les changements et adaptations à ces services lorsque les clients vieillissent et changent dans leur besoins. Récemment, il y a un nouvel apprentissage et partage de connaissance sur les technologies (tel que touch-screen, certains programmes) afin que les personnes avec un handicap intellectuel puissent employer les ordinateurs. Chez le programme quotidien de travail, on voit un mouvement vers une orientation plus liée à la retraite; en place de travail, souvent les clients plus âgés vont participer aux activités de loisir, des exercices de stimulation mentale (semblable à Sudoku etc.) ou les excursions. Dans les accommodements aussi, il y a un compréhension des besoins changeants de santé et support des clients plus vieux. Community Living a crée leur premier maison de groupe pour les ‘retraités’, pour les besoins spécifiques des âgés. En tenant compte que les personnes avec un handicap mentale vieillissent beaucoup plus vite que d’autres personnes, ces initiatives sont de haut importance.
Cette organisation représente l’évolution des services pour un certain groupe des personnes handicapées dans notre société. Pendant la vie de mon oncle comme un exemple individuel, une période de soixante ans démontre très grands changements dans les attitudes et services offerts par le gouvernement. Les organisations comme Community Living Toronto tente de s’ajuster aux besoins de leurs clients, en place de changer les habilités de leurs clients. Si on se voit comme un fournisseur de service (qui peut-être la définition des services sociales gouvernementaux), on se considère responsable de rencontrer les citoyens où ils sont—citoyens handicapés comme tout le reste.
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